Marc Hollogne et Marciel posent leurs valises Ô VALLON !
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Marciel et l'huissier saisissant
Un Cinéma-Théâtre de Marc Hollogne Synopsis Il y a quelques années, Marciel s’était fait remarquer en mélangeant très étroitement le théâtre et le cinéma. Dans ses spectacles, les acteurs sur scène dialoguent tout à fait naturellement avec leurs répliques projetées sur écran; ils entrent et ressortent de l’image au point d’en oublier la projection du film. Mais aujourd’hui, ruiné pour s’être fait tout voler, retranché dans une grange, il ne lui reste rien, excepté un piano, un écran, un projecteur de cinéma et quelques affaires courantes dispersées autour d’un matelas de fortune. Un huissier débarque pour saisir ses derniers biens alors qu’il tente d’écrire un nouveau tour de chant. A peine l’acte de saisie signifié, l’esprit d’indépendance des textes de Marciel s’actualisent, s’adressent sans détour à l’agent de l’état. Le dialogue qui s’enclenche entre les deux hommes explore sans concession deux façons d’appréhender le Monde aux antipodes l’une de l’autre. Le ton monte. L’huissier ironise sur les vertus d’un dépouillement total, persuadé qu’il sera le déclencheur d’une renaissance artistique. C’est absurde, Marciel a besoin de son piano, de son projecteur et son écran. L’huissier ne connait rien à la création de cet artiste atypique qui même le cinéma au théâtre. Les déménageurs ayant embourbé leur camion dans le chemin qui mène à la ferme offrent à Marciel le temps nécessaire pour « expliquer son cas » en traversant des séquences de ses précédents spectacles. L’huissier découvre une dizaine d’anciennes créations de Marciel, passant d’un film noir et blanc, au coeur d’une famille italienne privée de couleurs et de paroles par les télévisions de Berlusconi, à un dessin animé que Marciel colorie en direct, puis une séquence des plus méridionale avec Ticky Holgado.. Marciel tente évidemment d’obtenir un sursis, mais l’huissier ne veut rien entendre, à moins que, peut-être devenu complice, son intransigeance n’existe que pour pousser « sa victime » à se surpasser. Car c’est ce qui se produit.... Marciel redouble d’énergie, plonge dans une piscine, traverse un boudoir du 18ème pour y rejoindre une courtisane truffée d’effets spéciaux, dialogue avec un fils imaginaire... Marciel apporte soudainement dans l’écran le porte-manteau sur lequel sont accrochés les costumes prévus pour le tour de chant. Tout en se déshabillant, l’huissier salue la prouesse de l’artiste de s’être remis en danger... Il salue surtout le numéro de prestidigitateur de s’être inventé un « double » à ce point complémentaire... L’huissier termine d’enfiler l’habit de chanteur… sa venue ne serait-elle que la conséquence d’une construction mentale imaginée par Marciel pour affronter la réalité... la transcender ? Se libérer ? L’huissier, transformé en second Marciel régénéré se jette sur scène pour entamer un tour de chant de six chansons ! LA COUR > Théâtre 2.21 > Salle 2 mardi 28 à 20h30 mercredi 29 et jeudi 30 juin à 21h |
" S'il est en ce moment un spectacle tonique, plein de jus, intelligent, léger, d'une irrésistible force poétique, c'est bien celui conçu, écrit, réalisé et interprété par Marc Hollogne. Une cure de vitamines spirituelles "
Marianne
" Etourdissant ! Voici un comédien du troisième type qui installe sur scène un écran de cinéma, un décor de théâtre, une télé et bondit de l'un à l'autre à un train d'enfer, chante, cabriole, parodie. C'est fou ! Il déchire la réalité, déforme l'image, explose l'illusion.
Le plus moderne spectacle de Paris "
Le Point
"Marc Hollogne invente le 8ème art ! Epoustouflant ! Prodigieux ! Hallucinant! Le vocabulaire n'est pas assez riche pour définir le spectacle de Marc Hollogne. Théâtre, cinéma, dessin animé, télévision, musique, danse... le maître d'oeuvre joue à la perfection sur tous ces registres."
Le Figaro magazine
" Un big-bang artistique ! Marciel accomplit un prodige devant le spectateur ébahi. Il réussit à nous emporter avec lui dans un tourbillon invraisemblable de chassés croisés."
Valeurs actuelles
" Une nouvelle révolution à la Méliès . A voir pour y croire "
L'hebdo
" Marc Hollogne invente le Cinéma-Théâtre.
Ajusté avec un sens du montage sans faille, le procédé s'impose, si l'on peut dire, sans artifice.
Les séquences filmées sont théâtralisées juste ce qu'il faut pour raccorder au théâtre, et le théâtre conserve assez de liberté pour ne pas étouffer dans une théâtralité figée. Marciel pratique le Cinéma-Théâtre en se jouant et en se pensant tout haut. Il le fait en finesse"
Le Monde
" La marque du véritable artiste est de créer un univers. Celui de Marc Hollogne, héritier hyperdoué et sans prétention de l'imaginaire belge avec ce qu'il a de lyrique et d'ironique; cet univers est original et cohérent. Si Spielberg voit ce garçon, il va le voler. Marc Hollogne fait à lui seul autant que dix boîtes d'effets spéciaux ! On à l'impression d'être témoin d'un spectacle qui fera date et évènement "
Le Nouveau Quotidien
Marianne
" Etourdissant ! Voici un comédien du troisième type qui installe sur scène un écran de cinéma, un décor de théâtre, une télé et bondit de l'un à l'autre à un train d'enfer, chante, cabriole, parodie. C'est fou ! Il déchire la réalité, déforme l'image, explose l'illusion.
Le plus moderne spectacle de Paris "
Le Point
"Marc Hollogne invente le 8ème art ! Epoustouflant ! Prodigieux ! Hallucinant! Le vocabulaire n'est pas assez riche pour définir le spectacle de Marc Hollogne. Théâtre, cinéma, dessin animé, télévision, musique, danse... le maître d'oeuvre joue à la perfection sur tous ces registres."
Le Figaro magazine
" Un big-bang artistique ! Marciel accomplit un prodige devant le spectateur ébahi. Il réussit à nous emporter avec lui dans un tourbillon invraisemblable de chassés croisés."
Valeurs actuelles
" Une nouvelle révolution à la Méliès . A voir pour y croire "
L'hebdo
" Marc Hollogne invente le Cinéma-Théâtre.
Ajusté avec un sens du montage sans faille, le procédé s'impose, si l'on peut dire, sans artifice.
Les séquences filmées sont théâtralisées juste ce qu'il faut pour raccorder au théâtre, et le théâtre conserve assez de liberté pour ne pas étouffer dans une théâtralité figée. Marciel pratique le Cinéma-Théâtre en se jouant et en se pensant tout haut. Il le fait en finesse"
Le Monde
" La marque du véritable artiste est de créer un univers. Celui de Marc Hollogne, héritier hyperdoué et sans prétention de l'imaginaire belge avec ce qu'il a de lyrique et d'ironique; cet univers est original et cohérent. Si Spielberg voit ce garçon, il va le voler. Marc Hollogne fait à lui seul autant que dix boîtes d'effets spéciaux ! On à l'impression d'être témoin d'un spectacle qui fera date et évènement "
Le Nouveau Quotidien
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